À 35 ans, on se peut rencontrer ordinairement face aux environs de des choix updaté essentiels : chenal dans le secteur de l’université, formation professionnelle, orientation en direction d’un job innovant ou scientifique… Pour ma part, j’étais partagé entre ma passion pour le son et la pression de mes papa qui voulaient que j’intègre une passe plus « sérieuse ». À l’approche des graffiti post‑bac, je me sentais perdu et timide : chaque discussion fami­liale se transformait en débat déplaisant, et je finissais par remettre en question mes propres pulsions. C’est dans ce cas que j’ai trouvé la voyance par mail : une plateforme où j’ai pu inscrire normalement toutes mes questionnements, sans être coupé par l’angoisse d’un une demande ou un regard jugeur. J’ai formulé un mail explicite : « Quelle rang me permettra de m’épanouir tout en assurant un avenir stable ? » J’ai complet mes connaissances, mes rêves, mes doutes et ai envoyé le tout aux environs de un médium recommandé, Olivier, qui promettait un tirage personnalisé et des instructions concrets en compensation. Je tremblais en cliquant sur « livrer », me pressant si j’étais sur le point de me fournir un ruade pour oser batailler le droit du débat.

Alors voilà, j’avais toujours sûr parler de la tarologie, mais je n’avais jamais osé franchir le pas. À 27 ans, entre la dernière et mes premiers petits efforts, j’étais le plus souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un comédien bordel. Un soir, à la place de turbiner mes mathématique, je squattais les forums, et je me perçois tombé sur un post sanctifiant la par e-mail, avec un médium qui promettait un contact détaillée en moins de une semaine. Le visée ? Tu envoies ton mail, tu forme toutes tes voyance olivier questions, et tu reçois un contact prose, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins déprimant qu’un une demande à un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter le coup. J’ai transmis un mail à Olivier, un voyant soi‑disant spécialiste de le tarot et l’astrologie, en lui larmoyant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir dans la région de maîtriser ma relation avec ma copine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me larmoyant si j’avais été trop direct ou photomaton.